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Nicolas Bourthoumieux « Der Tag der Doppelten Morgendämmerung »
Exposition collective à Seuil Kritik, résidence FUGITIF, Leipzig, Allemagne01-16.10.2016 Artistes : Alicia Zaton, Erwan Maheo, Felix Gonzales-Torres, Geoffroy de Volder, Gijs Milius, Jefferson Manuel, Larry Clark, Manuel Burgener, Mathilde Fernandez, Michel François, Sarah Caillard, Stuart Franklin, Sylvain Courbois « In the spring of the first year tof the reign of King Qin I of Western Zhou dynasty, the day dawned twice at a place called Zheng». One’s life is always the recipient of another. like two distinctive elements collinding with each other to create a new statement. Using the post-apocalyptic background of an unsettled GDR building, Nicolas Bourthoumieux offers a site-specific installation in which heteregeneous and discreet items from his personal…
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Armand Lecouturier «Les sculptures ne meurent jamais »
Texte d’artiste «… Mais au-delà de cette antinomie de la forme et du contenu, il est une troisième voie d’accès au champ esthétique de la modernité. Rien ne la désigne mieux que le terme d’informe, dans l’acception que lui a donnée Georges Bataille en 1929 : l’informe est une opération qui consiste à déclasser, au double sens de rabaisser et de mettre du désordre dans toute taxinomie, afin d’annuler les oppositions sur quoi se fonde la pensée logique et catégorielle (forme et contenu, mais aussi forme et matière, intérieur et extérieur, etc.)1 » Ça pendouille, c’est cassé, c’est recollé, c’est éclaté. Les sculptures éreintées d’Armand Lecouturier jonchent le sol, flottent…
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Arina Essipowitsch « Habitus »
Exposition collective à Ein Areal, Wuppertal, Allemagne08-30.10.2016 Arina Essipowitsch aime raconter des histoires avec son appareil photo. Celle-ci se déroule à Leipzig où elle est actuellement en résidence. Pour ce projet, Habitus, elle compose, tel un chant polyphonique à trois voix, un patchwork photographique utilisant trois formats et techniques différents, comme autant de témoins d’une même histoire. Alors que les Polaroids capturent la froide réalité, les photographies tirées en noir et blanc traduisent l’ambivalence d’une ville perdue dans le temps. Longtemps restée sous la domination soviétique pendant la guerre froide, Leipzig expérimente aujourd’hui son renouveau, devenant une bulle idéale pour la jeune génération. Encore quelque peu éloignée des diktats capitalistes,…